Goncelin

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Goncelin
Goncelin
Le village.
Blason de Goncelin
Héraldique
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Auvergne-Rhône-Alpes
Département Isère
Arrondissement Grenoble
Intercommunalité Communauté de communes Le Grésivaudan
Maire
Mandat
Françoise Midali
2020-2026
Code postal 38570
Code commune 38181
Démographie
Gentilé Goncelinois
Population
municipale
2 507 hab. (2021 en augmentation de 7,41 % par rapport à 2015)
Densité 179 hab./km2
Géographie
Coordonnées 45° 20′ 37″ nord, 5° 58′ 47″ est
Altitude Min. 235 m
Max. 1 278 m
Superficie 14 km2
Type Commune rurale
Unité urbaine Goncelin
(ville isolée)
Aire d'attraction Grenoble
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton du Haut-Grésivaudan
Législatives Cinquième circonscription
Localisation
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Goncelin
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Goncelin
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Goncelin
Liens
Site web www.goncelin.fr

Goncelin est une commune française située dans le département de l'Isère, en région Auvergne-Rhône-Alpes.

Ses habitants sont appelés les Goncelinois et les Goncelinoises.

Géographie[modifier | modifier le code]

Situation et description[modifier | modifier le code]

Goncelin se situe à 32 km au sud de Chambéry, à 30 kilomètres au nord-est de Grenoble et fait partie de l'aire urbaine de celle-ci.

Dans la vallée du Grésivaudan sur la rive gauche de l'Isère, face au Touvet, cette ville est le point de départ de la route menant à Saint-Pierre-d'Allevard et Allevard.

Sites géologiques remarquables[modifier | modifier le code]

La banquette interglaciaire de Barraux et les vallées perchées du Grésivaudan sont un site géologique remarquable de 556,69 hectares qui se trouve sur les communes de Goncelin, Le Cheylas, La Flachère, Morêtel-de-Mailles, Sainte-Marie-d'Alloix et Saint-Vincent-de-Mercuze-Sainte-Marie-du-Mont. En 2014, ce site d'intérêt géomorphologique est classé « deux étoiles » à l'« Inventaire du patrimoine géologique »[1].

Communes limitrophes[modifier | modifier le code]

Climat[modifier | modifier le code]

En 2010, le climat de la commune est de type climat des marges montargnardes, selon une étude du Centre national de la recherche scientifique s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[2]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat de montagne ou de marges de montagne et est dans la région climatique Alpes du nord, caractérisée par une pluviométrie annuelle de 1 200 à 1 500 mm, irrégulièrement répartie en été[3].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 11,3 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 19,1 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 434 mm, avec 9,7 jours de précipitations en janvier et 8,1 jours en juillet[2]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Pipay_sapc », sur la commune de Theys à 5 km à vol d'oiseau[4], est de 6,3 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 545,8 mm[5],[6]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[7].

Hydrographie[modifier | modifier le code]

Le territoire communal est bordé par l'Isère.

Voies de communication et transports[modifier | modifier le code]

Le territoire communal est traversé par l'ancienne route nationale 523 qui relie Saint-Martin-d'Hères (près de Grenoble) à Montmélian. À la suite de la réforme de 1972, cette voie a été déclassée en RD 523.

La gare.

La commune comte une gare ferroviaire, desservie par des trains TER Auvergne-Rhône-Alpes.

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Goncelin est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[8],[9],[10]. Elle appartient à l'unité urbaine de Goncelin, une unité urbaine monocommunale[11] de 2 507 habitants en 2021, constituant une ville isolée[12],[13].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Grenoble, dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 204 communes, est catégorisée dans les aires de 700 000 habitants ou plus (hors Paris)[14],[15].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (64,7 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (66,1 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (64,7 %), zones agricoles hétérogènes (12,3 %), terres arables (6,2 %), zones urbanisées (6,1 %), prairies (4,5 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (3,4 %), eaux continentales[Note 3] (2,9 %)[16]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Hameaux, lieux-dits et écarts[modifier | modifier le code]

Goncelin possède huit hameaux dont le plus haut, Ruche, se trouve à 800 m d'altitude sur les balcons de Belledonne.

  • le Champet
  • Villard-bozon
  • Sollières
  • Ruche
  • les Côtes
  • Pelane
  • Fontcouvert
  • Montgalmand

et s'est agrandi avec plusieurs lotissements dont :

  • Les Poètes ;
  • Le Clos du château ;
  • Le Champ du bourg.

Risques naturels et technologiques[modifier | modifier le code]

Risques sismiques[modifier | modifier le code]

L'ensemble du territoire de la commune de Goncelin est situé en zone de sismicité no 4 (sur une échelle de 1 à 5), comme la plupart des communes de son secteur géographique[17].

Terminologie des zones sismiques[18]
Type de zone Niveau Définitions (bâtiment à risque normal)
Zone 4 Sismicité moyenne accélération = 1,6 m/s2

Autres risques[modifier | modifier le code]

Toponymie[modifier | modifier le code]

Goncelin : porté dans les Hautes-Alpes et les départements voisins, c'est un nom de personne germanique, Guncelinus, Goncelinus, diminutif formé sur la racine gund = combat. Variante : Gonssolin, Gonsolin. On trouve en Savoie les formes similaires Goncelin et Goncellin[19].

Histoire[modifier | modifier le code]

On note aussi la présence d'une maison forte appartenant aux Philippe en 1336 :

« quandam turim cum quadam domo bassa ipsius turri contigua et cum omni tenemento eidem contiguo site infra burgum goncellini[21]. »

  • Du Moyen Âge au milieu du XIXe siècle, le port de Goncelin au lieu-dit l'Islon, était essentiellement le port d'embarquement du minerai de fer de Belledonne et des fontes des hauts fourneaux d'Allevard, en direction des aciéries de la région de Rives ou de la fonderie royale de canons de marine de Saint-Gervais.
  • le cataclysme de 1827 : destruction partielle au XIXe siècle par un violent orage.

Le 14 juin 1827, la commune de Goncelin subit un cataclysme (avec d'autres communes connexes). De 18h à 20h au milieu de l'orage le plus violent, une foudre d'eau tomba sur les montages du canton de Goncelin. Les eaux tombées sur une montagne dite "des souliers" ont tout à coup entraîné les arbres, la terre, et laissé le rocher presque nu. Ces eaux suivant la rivière entraînant des pierres ont en quelques minutes renversé une quarantaine de maisons. En 1988, Roger Jallut dans un rappel des faits[22] évoque le bilan de 20 à 30 personnes englouties ou restées sans vie à la suite de cet évènement. Il évoque également la liste connue des victimes de l'époque et l'élan de solidarité exceptionnel qui s'en suivi par le département.

En 1827, un dépôt d'objets en bronze au sommet du mont de St Genis ou des Cinq Crêts fut découvert par Achille Chaper à la suite d'un violent orage[23]. Il comprenait des bracelets, faucilles, épingles datés de la phase moyenne du Bronze final (1100-950 av. J.-C.) à l'époque des premiers ateliers de bronziers installés sur les lacs alpins (Bourget, Annecy, Aiguebelette). Il est placé près des filons de cuivre de St Pierre-d'Allevard et le dépôt possède des lingots de cuivre[24].

La Grande Route en 1906.

Héraldique[modifier | modifier le code]

Blason de Goncelin Blason
De gueules au chevron d'or, accompagné en pointe de trois roses du même mal ordonnés ; au chef de gueules chargé d'une rose d'or.
Détails
Le statut officiel du blason reste à déterminer.

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Hôtel de ville[modifier | modifier le code]

L'hôtel de ville est équipé depuis 2000 d'un carillon de huit cloches provenant de la fonderie Paccard[25].

Petite enfance[modifier | modifier le code]

La commune dispose d'un Relais Assistantes Maternelles et de la halte garderie municipale - le Multi Accueil « La Ruche » - pour les petits âgés de 3 mois à 3 ans.

Enseignement[modifier | modifier le code]

Goncelin propose un enseignement depuis la maternelle jusqu'au collège :

  • l'école maternelle ;
  • l'école primaire ;
  • le collège Icare.

Liste des maires[modifier | modifier le code]

Liste des maires successifs depuis 1900[26]
Période Identité Étiquette Qualité
1900 1904 Jules Sarret    
1904 1908 Antoine Mercier    
1908 1919 Émile Morel    
1919 1925 Gaston Durand    
1925 1935 Gustave Agrel    
1935 1938 Gaston Durand    
1938 1947 Pierre Janot    
1947 1958 Maurice Jourdanet    
1958 1977 Marcel Sorrel    
mars 1977 mars 1983 Constant Sario    
mars 1983 1992 Yves Saumon    
1992 juin 1995 René Emery    
juin 1995 mars 2008 Marie-Thérèse Roche RPR puis UMP  
mars 2008 En cours Françoise Midali UMP-LR  

Services publics sur place[modifier | modifier le code]

Bâtiment de la poste rue de la ventive.

Population et société[modifier | modifier le code]

Démographie[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[27]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[28].

En 2021, la commune comptait 2 507 habitants[Note 4], en augmentation de 7,41 % par rapport à 2015 (Isère : +2,71 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
1 4811 5531 6501 6411 6281 6421 5471 6361 650
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
1 6021 6341 5871 5611 5131 5451 5241 5211 505
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
1 3551 3461 2551 0861 0871 102983923950
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2008 2013
8841 1361 5061 4671 7711 9372 1232 1762 269
2018 2021 - - - - - - -
2 4702 507-------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[29] puis Insee à partir de 2006[30].)
Histogramme de l'évolution démographique

Clubs sportifs[modifier | modifier le code]

  • CAG (Athlétic Club Goncelinois), petit club de football local.
  • Le club de tennis Goncelinois.
  • Ski club Goncelinois.
  • Basket club.

La vie culturelle[modifier | modifier le code]

Festivité[modifier | modifier le code]

Cultes[modifier | modifier le code]

Dans le bourg de Goncelin, l'église Saint-Didier a été récemment restaurée.

Économie[modifier | modifier le code]

La commune fait partiellement partie de l'aire géographique de production et transformation du « Bois de Chartreuse », la première AOC de la filière Bois en France[31].

Culture locale et patrimoine[modifier | modifier le code]

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

Patrimoine religieux[modifier | modifier le code]

église Saint-Didier
Goncelin possède une église dédiée à Saint-Didier, dont la construction s'est effectuée de 1297 à 1308[32]. Actuellement, seul le clocher est de cette époque. En effet, l'église fut démolie en 1842, puis reconstruite et agrandie en 1849 avec les deux nefs latérales. Les murs du chœur actuel reposent, au levant, sur les anciennes fondations. La décoration peinte et les boiseries du chœur datent de cette période. Douze apôtres en fonte, grandeur nature, logées dans des niches aménagées dans les murs latéraux des deux nefs furent bénis le 11 juin 1873 par le père Raynaud. Trois vitraux se trouvent dans le chœur : l'un dédié à saint Didier (dont l'église porte le nom) se situe au centre. Le second est dédié à Notre-Dame de la Pitié et le troisième représente saint Antoine rendant visite à saint Paul ermite dans le désert.

Patrimoine civil[modifier | modifier le code]

Le château de Goncelin.
maison forte delphinale de Goncelin
La maison forte - dite aujourd'hui le « château » - dominant le village de Goncelin fut édifiée aux XIIe et XIIIe siècles : la partie nord-ouest, avec un escalier à vis est la plus ancienne. Elle fut habitée par la famille de Goncelin connue dès 1218. Dans un contexte politique de carence du pouvoir central, les châteaux-motte naquirent à l'initiative des seigneurs locaux. Mais les dauphins s'intéressèrent très tôt à ce secteur en raison de sa proximité avec la Savoie[33]. Résidence du seigneur ou du chapelain, le château était une architecture militaire. Le village de Goncelin était protégé par une enceinte d'un kilomètre de long, qui comportait quatre portes. À l'intérieur de la circonscription furent édifiées deux autres beaux exemples de fortification : la tour de Montpensard et la tour Noire, dont le proximité géographique et la ressemblance étonnante invite à proposer une même datation autour du XIVe siècle[34].
Du XVe au XVIIe siècle, l'histoire du château est mal connue. Il fut sans doute occupé par les chapelains, officiers représentant du dauphin. Autour du XVe siècle, il fut agrandi à l'est, avec la création d'une grande salle au rez-de-chaussée, ornée d'un plafond à la française et d'une grande cheminée, éclairée de plusieurs fenêtres à meneaux côtés est et nord.
En 1792, le château appartenait à Jean Sarret, l'un des plus gros propriétaires terriens du village, membre d'une famille de marchands tanneurs qui s'installa à Goncelin au début du XVIIIe siècle. Son fils Claude, avocat à la cour du parlement, fut maire de Goncelin en 1790. C'est probablement à cette période que le château fut transformé en « manoir », par l'adjonction d'un toit dauphinois, et un agrandissement à l'ouest avec une nouvelle façade d'entrée. La grande salle, qui conserva son plafond, sa cheminée et ses ouvertures, reçut un nouveau décor de tentures, baguettes et peintures, familier des clients du restaurant qu'elle a abrité durant plus de cinquante ans.
Au début du XXe siècle, au décès de Jules Sarret, sa veuve décida de vendre les terres et les bâtiments[35]. Tandis que la famille Serat achetait la ferme et des terrains, ce fut Gabriel Léger qui se porta acquéreur du château entre 1918 et 1920. Celui-ci trouva la mort prématurément dans un accident de moto en 1925 et sa veuve, ne se sentant pas en mesure d'assumer seule l'exploitation de la propriété, la céda sa belle-sœur Marie Léger. Avec Jeanne Taulier, celle-ci y aménagea une pension de famille, très prisée par la clientèle anglaise, qui prospéra jusqu'à la Deuxième Guerre mondiale. Après une période de désaffectation, au cours de laquelle le château servit de magnanerie et de logements locatifs, un restaurant fut ouvert au rez-de-chaussée. Dans les années 1950, le château fut acheté par une SCI (Sorrel, Midali et Armanet). Depuis les années 2000, il appartient à plusieurs membres de la famille Sorrel.
maison forte de Montpansard
du XIVe siècle[20]
maison forte de la Tour Noire
du XIVe siècle[20]
ancienne maison forte du truc
au Mas de Fay, l'inventaire du 1339 signale une maison forte. Elle se trouve en rive gauche des gorges du Fay et on peut y accéder depuis le hameau des Fontaines[20]

Patrimoine naturel[modifier | modifier le code]

Le coteau de l'Adret, avec la commune de Theys, vue depuis le Crêt Luisard.

La commune comprend deux zones naturelles protégées ZNIEFF de type I

Plus largement les bords de l'Isère et les contreforts de Belledonne sont classés en ZNIEFF de type II.

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

Voir aussi[modifier | modifier le code]

Sur les autres projets Wikimedia :

Bibliographie[modifier | modifier le code]

  • Élisabeth Sirot, Noble et forte maison : L'habitat seigneurial dans les campagnes médiévales du milieu du XIIe siècle au début du XVIe siècle, Paris, Editions Picard, , 207 p. (ISBN 978-2-7084-0770-1).

Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]

Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes et cartes[modifier | modifier le code]

  • Notes
  1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  3. Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
  4. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  • Cartes
  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références[modifier | modifier le code]

  1. Inventaire du patrimoine géologique : résultats, Ministère de l'Environnement, de l'Énergie et de la Mer - DREAL Auvergne-Rhône-Alpes, 24 janvier 2014 (mis à jour le 31 mars 2015), accès le 23 septembre 2016.
  2. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  3. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le )
  4. « Orthodromie entre Goncelin et Theys », sur fr.distance.to (consulté le ).
  5. « Station Météo-France « Pipay_sapc », sur la commune de Theys - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  6. « Station Météo-France « Pipay_sapc », sur la commune de Theys - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  7. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le )
  8. « Typologie urbain / rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  9. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  10. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  11. « Unité urbaine 2020 de Goncelin », sur insee.fr (consulté le ).
  12. « Base des unités urbaines 2020 », sur insee.fr, (consulté le ).
  13. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur insee.fr, (consulté le ).
  14. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
  15. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  16. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  17. Site de la préfecture de l'Isère, carte des zones de sismicité.
  18. Arrêté du 22 octobre 2010 relatif à la classification et aux règles de construction parasismique applicables aux bâtiments de la classe dite « à risque normal » - Légifrance.
  19. geneanet.org: "Goncelin : son origine, sa répartition géographique"
  20. a b c et d Eric Tasset, Châteaux forts de l'Isère : Grenoble et le Nord de son arrondissement, Grenoble, éditions de Belledonne, , 741 p. (ISBN 2-911148-66-5), pp. 296-302.
  21. Élisabeth Sirot 2007, p. 61.
  22. Roger Jallut, alors secrétaire de la mairie, « Extrait du bulletin municipal,"commission information", le cataclisme du 14 juin 1827 » Accès libre
  23. Mémoires de la Commission des Antiquités du département du département de la Côte-d'Or, tome premier, Dijon, Lamarche, .
  24. Aimé Bocquet, L'Isère pré et protohistorique, Gallia-Préhistoire 1969, fasc. 2 page 274 [1]
  25. « Carillons de France », sur carillons.canalblog.com, (consulté le ).
  26. « Mairie de Goncelin », sur goncelin.fr (consulté le ).
  27. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  28. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  29. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  30. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  31. Cahier des charges de l’appellation d’origine « Bois de Chartreuse », homologué par l’arrêté du 23 octobre 2018 publié au JORF du 31 octobre 2018, Bulletin officiel du Ministère de l’agriculture et de l’alimentation, n° 2018-46 (.PDF).
  32. Vers 1100, l'église de Goncelin figure dans le cartulaire de Saint Hugues comme faisant partie de l'archiprêtré de Grenoble. Voir : MARION Jules, "Cartulaire C" dans Cartulaires de l’église cathédrale de Grenoble dits cartulaires de Saint Hugues, Colmar, Hoffmann, 1869.
  33. Centre d'archéologie historique des musées de Grenoble et de l'Isère, Archéologie chez vous no 9, Grésivaudan : pays d'Allevard et de Goncelin (1991), p. 31.
  34. Centre d'archéologie historique des musées de Grenoble et de l'Isère, Archéologie chez vous no 9, Grésivaudan : pays d'Allevard et de Goncelin (1991), p. 40-41.
  35. Informations recueillies lors d'un groupe "mémoire" de l'Association "Histoire, culture et vie à Goncelin" du 15 mai 1996 avec des habitants natifs du village et la petite-fille de Gabriel léger.